Beaucoup se laissent intimider par la climatologie, qui se rapproche de plus en plus d’une forme de sorcellerie moderne. Persuadés qu’il s’agit d’une science extrêmement complexe, le grand public renonce à comprendre, et se fie religieusement aux « 97% de climatologues » supposés croire au réchauffement climatique d’origine humaine.
Or, le réchauffement n’a rien de sorcier et peut être compris sans efforts. Allongez-vous sur un transat au soleil. Que ressentez-vous lorsqu’un nuage passe ? la température baisse. Vous détenez la réponse à la question climatique principale :
· Qu’est-ce qui réchauffe la Terre ?
Le soleil. Vous en trouverez confirmation en consultant les données de n’importe quel institut météorologique. Vous constaterez que la température moyenne mensuelle est directement liée au nombre d’heures d'insolation et à l'intensité du rayonnement solaire.
· Qu’est-ce que l’effet de serre ?
Une partie de la chaleur émise par le soleil est retenue dans l’atmosphère par les nuages, qui jouent un rôle mixte – bloquant également l’arrivée des rayons solaires sur terre. Sans cet « effet tampon » des nuages, toute la Terre connaîtrait un climat comparable à celui du Sahara. Les nuages et la vapeur d’eau (H2O) constituent le principal « gaz à effet de serre ».
· Quels sont les autres gaz à effet de serre (GES) ?
Le CO2 représente 400 millionièmes de l’atmosphère (0,04 %), environ cent fois moins que l’eau (nuages et vapeur d’eau). Il faut également souligner que le CO2 d’origine humaine ne représente pas plus de 5% du CO2 total. Quant au méthane, dont on nous rebat les oreilles, sa concentration dans l’atmosphère est dix fois moins élevée que celle du CO2. Sa production n’est également que partiellement liée aux activités humaines. Méthane et CO2 ne jouent donc qu’un rôle hypothétique mineur dans l’effet de serre.
Ce rôle est artificiellement exagéré par les modèles climatiques du GIEC. Ces modèles sont des « simulations » simplifiées de l’atmosphère dont on tire des prévisions. Les prédictions des modèles du GIEC se sont toujours révélées fausses, à cause du rôle exagéré attribué au CO2 (tandis que les modèles russes – qui n’ont pas ce défaut – donnent des prévisions justes).
Cette faiblesse scientifique des modèles du GIEC est masquée par une accumulation de prédictions apocalyptiques qui alimentent régulièrement les médias. C’est là que la climatologie se rapproche de la sorcellerie.
· Le réchauffement climatique existe-t-il ?
Oui, il s’agit selon le GIEC lui-même d’un réchauffement de 1,2°C depuis 150 ans.
· Quelle est la cause de ce réchauffement ?
Des mesures effectuées par les satellites de la NASA, depuis que ceux-ci existent indiquent un réchauffement de 0,5°C environ (en 40 ans). Les observations de la NASA montrent que ce réchauffement est lié à une diminution des nuages.
· Pourquoi une diminution des nuages ?
Cette diminution de la couche nuageuse semble indirectement liée à l’activité solaire (ce qui nous ramène au rôle central du Soleil). Ici ça se complique un peu : les variations de l’activité solaire entraînent des variations du champ magnétique solaire, qui interfèrent avec les rayons cosmiques atteignant la Terre. Or ces rayons cosmiques ont la propriété de favoriser la formation des nuages.
Une augmentation de l’activité solaire augmente la quantité de chaleur reçue par la Terre, et réduit aussi la formation de nuages, ce qui accentue la chaleur reçue. Ceci est la théorie de Svensmark, Shaviv et al., qui fait l’objet de publications scientifiques négligées par le GIEC.
Il faut se rappeler que le GIEC n’est pas, à proprement parler un groupe d’experts, mais plutôt un groupe de pression dont l’objectif officiel est d'évaluer "les bases scientifiques du risque de changement climatique d’origine humaine", ce qui revient à éliminer toute autre cause possible.
Comments