Mark Zuckerberg vient d’avouer, dans une lettre au Congrès, que l’administration Biden-Harris l’avait obligé à censurer les informations sur le Covid qui la gênaient, notamment sur l'origine et la toxicité du vaccin. Occasion de revenir sur cette mystification planétaire, qui peut être démontrée en deux points.
Premier point : Examinons le tableau résumant les résultats à 6 mois du premier essai clinique du vaccin Pfizer, avant toute commercialisation.
20.000 sujets environ ont reçu le vaccin, 20.000 sujets ont été injectés avec un placebo. On observe 15 décès dans le groupe vacciné (auxquels il faut ajouter 5 décès que Pfizer a oublié d’enregistrer dans le tableau), contre 14 décès dans le groupe placebo.
Tout essai médical normal s’arrêterait avec de tels résultats où la mortalité globale du groupe traité est supérieure à celle du groupe non-traité. Il n’est pas nécessaire d’avoir fait des études de médecine pour le comprendre, ça s’appelle le bon sens; tout médecin vous le confirmera.
Ici c’est l’inverse : on crie victoire, on arrête l’évaluation qui devait s’étendre sur deux ans, et on « vaccine » tous les sujets du groupe contrôle, de telle sorte qu’aucune comparaison de l’évolution de ces deux groupes n’est plus possible. On entre dans l’escroquerie.
Comment le justifier publiquement ? On ne tiendra aucun compte des décès d’origine cardiaque (pourtant l’effet indésirable le plus fréquent du vaccin Pfizer). On compare uniquement des décès dus au Covid : 1 décès chez les vaccinés, 2 décès avec le placebo. Deux c’est 100% de plus qu’un, donc le vaccin est à 100% efficace. Une blague que médias et réseaux sociaux nous vendront, comme vous pouvez le découvrir dans cette vidéo hallucinante.
Une farce morbide qui n’a été possible qu’avec la bénédiction de la Food and Drug Administration (FDA), organisme officiel chargé aux Etats-Unis d’évaluer l’innocuité des nouveaux médicaments, et d’autoriser leur mise sur le marché. Le tableau Pfizer faisait partie du dossier remis à la FDA.
Effets indésirables
Deuxième point de la mystification : Pfizer a inclus, non sans cynisme, dans sa demande d'autorisation la liste de 1.500 effets indésirables possibles du vaccin. On ne pourra pas reprocher à Pfizer de les avoir dissimulés. Avec un cynisme de niveau supérieur, la FDA a entériné cette liste, et donné son feu vert pour la mise sur le marché en 30 jours (alors que l’étude de ces effets aurait dû prendre des mois ou des années). Ajoutons que le dossier se caractérisait aussi par une absence d'études animales, un manque d'études cliniques véritables, et une absence de consentement éclairé des cobayes humains.
Cette précipitation étrange s’explique par le fait que Pfizer et la FDA étaient poussés dans le dos par le cynisme suprême du Pentagone (Défense américaine), qui qualifiait le pseudo-vaccin de mesure de guerre urgente contre la pandémie.
Robert Kennedy Jr évoque dans son livre The Real Anthony Fauci (“Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma : leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique”) – véritable anthologie de la pandémie Covid – l'Opération Warp Speed , "partenariat public-privé initié par le gouvernement des États-Unis le 15 mai 2020, avec un budget de 18 milliards de dollars, pour faciliter et accélérer le développement, la fabrication et la distribution des vaccins, des produits thérapeutiques et des produits de diagnostic COVID-19" (Wikipedia).
Pourquoi cette implication surprenante du Pentagone ? Parce que le virus du Covid s’est échappé du laboratoire de Wuhan (ce que Facebook devait cacher) où il a été fabriqué dans le cadre de la recherche militaire financée secrètement par le Pentagone, par l’intermédiaire du Dr Anthony Fauci, tsar de la recherche médicale américaine, qui bénéficiait depuis deux décennies des budgets mirobolants de la biodéfense.
Opération militaire
Peu de gens sont conscients du fait que nous avons été victimes d'une opération militaire : il fallait mettre tout le monde au pas. Ceci permet de recadrer le rôle de Bill Gates et des sociétés pharmaceutiques (Pfizer, Moderna…). Ce ne sont pas eux les grands Manitous : ils profitaient simplement, et nous payions.
Ce produit expérimental, commercialisé sur base d’études bâclées, a rapporté en 2021 à Pfizer 36 milliards de dollars. Plus de 10 milliards de doses ont été injectées, avec une utilité minime et des conséquences néfastes qui ne sont pas encore connues.
Les véritables moteurs de l'affaire étaient les grands paranoïaques du complexe militaro-industriel et des services de renseignement qui, en 30 ans, ont continué à justifier leur budget en passant de la Guerre Froide à la Guerre à la Terreur, puis à la Guerre contre les virus.
Censure
Le dossier Pfizer a été dévoilé grâce au Freedom of Information Act, qui a mené un juge américain à le rendre public. La FDA voulait le publier en 75 ans (alors qu'elle l’a approuvé en un mois), sous prétexte qu’il était trop volumineux – demande grotesque que le juge a rejetée.
Pour la petite histoire, j’ai posté jadis sur Facebook la liste des 1.500 effets indésirables, qui a été immédiatement supprimée et j'ai été interdit de publication. J’ai menacé FB de transmettre leur décision au juge américain. Le bluff a marché, mon post a été rétabli 15 jours plus tard, de telle sorte malheureusement que peu de gens l’ont remarqué. Lorsque j’ai voulu le republier plus tard, j'ai à nouveau été banni pour un mois par FB qui ne respectait pas sa décision antérieure. Vous pourrez apercevoir la fameuse liste dans cette vidéo postée sur X.
Quatre ans après cette tromperie meurtrière nous assistons à l’affrontement électoral de ce que j’appellerai le clan de la vérité (Trump-Kennedy) contre celui du mensonge (Biden-Kamala Harris).
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